Les SS ont détruit la plupart des archives du KL Auschwitz lors de l’évacuation du camp en janvier 1945. Le portrait d’immatriculation de ce détenu a disparu.

Les SS ont détruit la plupart des archives du KL Auschwitz
lors de l’évacuation du camp en janvier 1945.
Le portrait d’immatriculation de ce détenu a disparu.

François, Paul, Lucien, Dallet naît le 2 septembre 1898 au lieu-dit Vintéjoux sur la commune de Saint-Martial-le-Vieux (Creuse), au domicile de son grand-père, cultivateur. Ses parents sont Antoine Dallet, 30 ans, cocher (« momentanément absent »), et Victorine Gouyon, son épouse,  22 ans, cultivatrice, demeurant également à Vintéjoux.

François Dallet commence à travailler comme cultivateur.

Le 3 mai 1917, il est incorporé comme soldat de 2e classe au 138e régiment d’infanterie. Le 12 juin, il est admis à l’hôpital mixte de Magnac-Laval (Haute-Vienne) pour oreillons et en sort cinq jours plus tard. Le 4 septembre, il retourne dans cet hôpital pour une rougeole et en sort dix-huit jours plus tard. Le 30 décembre suivant, il passe au 107e R.I. Le 7 février 1918, il est évacué sur l’hôpital mixte de Guingamp (Côtes-d’Armor) pour congestion pulmonaire gauche grippale. Il en sort dix jours plus tard avec un congé de convalescence de quarante jours, rejoignant son unité le 17 juin. Il passe au 163e R.I. le 2 août 1918. Le 4 novembre, il est évacué pour gale et anthrax, rejoignant son unité le 15 décembre. Il passe au 160e R.I. le 30 avril 1919. Il passe au 79e R.I. le 26 août suivant. Le 6 septembre, il entre à l’hôpital mixte de Toul (Meurthe-et-Moselle) pour bronchite et en sort le 24 octobre avec un congé de convalescence de vingt jours. Le 29 mai 1920, il est « renvoyé dans ses foyers », titulaire d’un certificat de bonne conduite.

À partir de 1923, François Dallet travaille comme chauffeur de taxi. Il est membre de la Chambre syndicale des cochers chauffeurs du département de la Seine. En juin 1940, il travaille pour le compte d’un loueur de “voitures de place” des environs de la Porte de Clignancourt, à Paris 18e.

À partir du 17 décembre 1926, François Dallet est domicilié au 124, rue du Président-Wilson à Levallois-Perret [1] (Seine / Hauts-de-Seine – 92).

Chauffeur de taxi, il est membre de la Chambre syndicale des cochers chauffeurs du département de la Seine. Jusqu’en juin 1940, il travaille pour le compte d’un loueur de voitures de place des environs de la Porte de Clignancourt, à Paris 18e.

Militant du Parti communiste, François Dallet est considéré comme un assez bon orateur qui sait se faire écouter. Il est également adhérent au Secours rouge international et aux Amis de l’U.R.S.S.

Fin 1928, il est secrétaire du 7e rayon de la région parisienne du PC. À la fin des années 1920, il est momentanément « écarté » pour ses « erreurs de droite ».

Fin 1929, François Dallet est amené à prendre parti dans une crise qui divise les militants de Clichy-la-Garenne, alors que Charles Auffray, maire de la commune depuis 1926, est entré en conflit avec la nouvelle direction du PC. (Selon le Maitron…) Pour éclairer cette crise il faut revenir quelques années en arrière. Le 25 octobre 1925, Auffray avait été un des 250 signataires de la « Lettre au Comité exécutif de l’Internationale communiste » appelée lettre des 250. Les rédacteurs constataient : « nous sommes en pleine régression (…) après une année de “bolchevisation” », et dénonçaient « les mégalomanes du BP et du CC » [bureau politique et comité central]. Après cette violente critique, Auffray accepta la politique de son parti et conserva des fonctions, d’ailleurs modestes en dehors de ses mandats électoraux. […] Lors des élections municipales de mai 1929, la direction du septième rayon de la région parisienne lui imposa Paul Négrin, dit Chapuis, employé à la Banque ouvrière et paysanne, comme adjoint. Celui-ci, partisan résolu du cours ultra-gauche, demanda l’épuration complète de la municipalité et se heurta vivement au premier adjoint, Maurice Naile. Auffray prit prétexte du renvoi de Négrin de la Banque ouvrière et paysanne pour l’expulser de la mairie, avec l’approbation de la majorité du conseil. Immédiatement le rayon procéda à l’exclusion de membres de la municipalité, le 1er octobre 1929. Le lendemain Auffray prit acte de la rupture. […] Il riposta en tenant une réunion publique le 6 novembre et en créant un journal, Le Prolétaire de Clichy. (fin de citation)

Le 8 novembre 1929, François Dallet participe au meeting organisé par le PC dans la salle Reflut, à Clichy, au motif de célébrer de 12e anniversaire de la révolution russe. Mais l’atmosphère devient vite houleuse, car le président de séance, Antonelli (?), fait allusion dans son introduction à certains élus municipaux qui n’ont pas voulu se soumettre à la discipline du Parti. Quand il peut se faire entendre, François Dallet vante d’abord les progrès obtenus en URSS grâce à la Révolution. Puis lui aussi évoque l’indiscipline de la municipalité de Clichy et à l’attitude de Charles Auffray, qui a refusé des salles municipales à des représentant du PC, à calomnié des militants et vient de fonder un journal, Le Prolétaire de Clichy, où des articles violents sont dirigés contre certains d’entre eux : « Agir ainsi, c’est marcher vers la social-démocratie et devenir esclaves de la bourgeoisie ». Dallet descend de la tribune applaudit par ses partisans et conspué par les amis d’Auffray, selon un rapport des Renseignements généraux. Le 22 décembre suivant, Charles Auffray signera avec vingt-six autres militants la déclaration initiale créant le Parti ouvrier-paysan (POP). Le 21 décembre 1930, le POP fusionnera avec l’Union socialiste communiste pour donner naissance au Parti d’unité prolétarienne (PUP) qui élira Auffray à son Comité central.

Le 3 février 1930, au cours de la conférence d’information du PC de la région parisienne tenue à La Bellevilloise, François Dallet évoque son « retour dans la ligne » et le prouve par son activité de recrutement.

Le 19 février 1930, à Levallois, il participe avec le député du 19e arrondissement Georges Beaugrand à un meeting organisé par le Parti communiste pour commémorer l’anniversaire de la mort de la communarde Louise Michel. La participation est faible, ainsi que le mentionnent les orateurs, et la réunion se clôt au bout de 40 minutes.

Du 5 novembre 1930 jusqu’au moment de son arrestation, François Dallet habite seul dans un hôtel au 16 ter, rue Collange à Levallois-Perret. Il est célibataire…

Le 12 février 1940, il est rappelé à l’activité militaire au dépôt d’infanterie n° 133, où il arrive deux jours plus tard. À sa démobilisation, il se retrouve au chômage.

Le 14 décembre suivant, vers 10 heures du matin, François Dallet est arrêté dans sa chambre d’hôtel par deux policiers en civil – probablement des inspecteurs – du commissariat de la circonscription de Levallois-Perret. Louis A., de Levallois, est peut-être arrêté un peu avant lui pour distribution de tracts communistes : il en a expédié quatre à un couple de Plouhérin (Côtes-du-Nord / Côtes-d‘Armor) pliés dans le journal Paris-Soir. La perquisition effectuée à son domicile amène la découverte de 23 autres tracts. Au cours de son interrogatoire – peut-être dans les locaux de la BS1 à la préfecture de police -, il reconnaît les faits et met en cause François Dallet (qui les recevait lui-même de Camille Salagnac). Les deux hommes sont conduits au dépôt de la préfecture de police.

Le 16 décembre, ils sont écroués à la Maison d’arrêt de la Santé (Paris 14e). Le 19 décembre, le Procureur général ouvre une information contre les deux hommes pour infraction au décret du 26 septembre 1939.

Le 3 mars 1941, ils comparaissent ensemble devant la 12e chambre du Tribunal correctionnel de la Seine qui les condamne simultanément à une peine de prison (François Dallet à 8 mois d’emprisonnement).

Palais de Justice de Paris, île de la Cité, Paris 1er. Tribunal correctionnel, un des porches du rez-de-chaussée. (montage photographique)

Palais de Justice de Paris, île de la Cité, Paris 1er.
Tribunal correctionnel, un des porches du rez-de-chaussée.
(montage photographique)

Le 2 mai, François Dallet est conduit à l’établissement pénitentiaire de Fresnes [1] (Seine / Val-de-Marne).

L’établissement pénitentiaire de Fresnes après guerre. Carte postale. Collection Mémoire Vive.

L’établissement pénitentiaire de Fresnes après guerre.
Carte postale. Collection Mémoire Vive.

Probablement à la suite d’une décision de la Cour d’appel de Paris confirmant ou aggravant sa condamnation, il est transféré à la Maison centrale de Poissy (Seine-et-Oise / Yvelines) ; matricule n° 1303.

Au deuxième plan, la Maison centrale de Poissy vers 1916. Carte postale. Collection Mémoire Vive.

Au deuxième plan, la Maison centrale de Poissy vers 1916.
Carte postale. Collection Mémoire Vive.

Madame E., l’épouse de l’exploitant de l’hôtel où il vivait, vient le visiter à Poissy, le couple étant resté en correspondance avec lui.

Le 21 mai 1941, en « exécution des notes préfectorales des 14 novembre 1940 et 18 février 1941 », le directeur de la prison transmet au bureau politique du cabinet du préfet de Seine-et-Oise quatre notices de détenus de la Seine devant être libérés à l’expiration de leur peine au cours du mois suivant, dont Alfred Chapat et François Dallet. Le 29 mai, le préfet de Seine-et-Oise transmet ce dossier  à la direction des Renseignements généraux, à la préfecture de police.

Dès le 8 juin, le préfet de police envoie au préfet de Seine-et-Oise les ampliations d’arrêtés d’internement administratif concernant deux de ces détenus prochainement libérables de Poissy : Alfred Chapat et François Dallet. Le document concernant François Dallet porte déjà la date légale de sa libération, prévue deux semaines plus tard. Le 14 juin, le préfet de Seine-et-Oise écrit au directeur de la prison pour le « prier de bien vouloir conserver provisoirement à la Maison centrale de Poissy les [deux] militants communistes », faute de place au centre de séjour surveillé d’Aincourt, alors saturé. Le 25 juin, après qu’ait été signé par le préfet de police l’arrêté d’internement le concernant, en application du décret du 18 novembre 1939, François Dallet est maintenu en détention à Poissy.

Le 23 septembre, il écrit au préfet de police pour solliciter sa libération. Le 8 octobre, les Renseignements généraux, desquels on a demandé l’avis, répondent au cabinet du préfet que « Dans les circonstances actuelles, sa libération ne paraît pas devoir être envisagée ».

Le 28 novembre, il fait partie d’un groupe de neuf internés de Poissy transférés au “centre de séjour surveillé” (CSS) de Rouillé, au sud-ouest de Poitiers (Vienne).

Le camp de Rouillé, “centre de séjour surveillé”, vu du haut d’un mirador. Date inconnue. Au fond - de l’autre côté de la voie ferrée -, le village. Musée de la Résistance nationale (Champigny-sur-Marne), Fonds Amicale Voves-Rouillé-

Le camp de Rouillé, “centre de séjour surveillé”, vu du haut d’un mirador. Date inconnue.
Au fond – de l’autre côté de la voie ferrée -, le village.
Musée de la Résistance nationale (Champigny-sur-Marne), Fonds Amicale Voves-Rouillé-

Le 22 mai 1942, François Dallet est du nombre des 156 internés – dont 125 seront déportés avec lui – remis aux autorités d’occupation à la demande de celles-ci et conduits au camp allemand de Royallieu à Compiègne (Oise), administré et gardé par la Wehrmacht (Frontstalag 122 – Polizeihaftlager).

Le quartier “A” de la caserne de Royallieu à Compiègne, futur “camp des communistes” du Frontstalag 122 ; à droite, sont visibles les bâtiments A4, A5, A6, A7 et A8. Carte postale des années 1930. Collection Mémoire Vive.

Le quartier “A” de la caserne de Royallieu à Compiègne, futur “camp des communistes” du Frontstalag 122 ;
à droite, sont visibles les bâtiments A4, A5, A6, A7 et A8.
Carte postale des années 1930. Collection Mémoire Vive.

Entre fin avril et fin juin 1942, il est sélectionné avec plus d’un millier d’otages désignés comme communistes et une cinquantaine d’otages désignés comme juifs dont la déportation a été décidée en représailles des actions armées de la résistance communiste contre l’armée allemande (en application d’un ordre de Hitler).

Le 6 juillet 1942 à l’aube, les détenus sont conduits à pied sous escorte allemande à la gare de Compiègne, sur la commune de Margny, et entassés dans des wagons de marchandises. Le train part une fois les portes verrouillées, à 9 h 30.

Les deux wagons à bestiaux du Mémorial de Margny-les-Compiègne, installés sur une voie de la gare de marchandise d’où sont partis les convois de déportation. Cliché Mémoire Vive 2011.

Les deux wagons à bestiaux du Mémorial de Margny-les-Compiègne,
installés sur une voie de la gare de marchandise d’où sont partis les convois de déportation.
Cliché Mémoire Vive 2011.

Le voyage dure deux jours et demi. N’étant pas ravitaillés en eau, les déportés souffrent principalement de la soif.

Le 8 juillet, François Dallet est enregistré au camp souche d’Auschwitz (Auschwitz-I) sous le numéro 45420 (sa photo d’immatriculation n’a pas été retrouvée).

Après les premières procédures (tonte, désinfection, attribution d’un uniforme rayé et photographie anthropométrique), les 1170 arrivants sont entassés pour la plupart dans deux pièces nues du Block 13 où ils passent la nuit.

© Mémoire Vive 2017.

© Mémoire Vive 2017.

Le lendemain, vers 7 heures, tous sont conduits à pied au camp annexe de Birkenau ; alors choisi pour mettre en œuvre la « solution finale » – le génocide des Juifs européens -, ce site en construction présente un contexte plus meurtrier pour tous les concentrationnaires. À leur arrivée, les “45000” sont répartis dans les Blocks 19 et 20 du secteur B-Ib, le premier créé.

Le 10 juillet, après l’appel général, ils subissent un bref interrogatoire d’identité qui parachève leur enregistrement et au cours duquel ils déclarent une profession (celle qu’ils exerçaient en dernier lieu ou une autre, supposée être plus “protectrice” dans le contexte du camp). Puis ils sont envoyés au travail dans différents Kommandos.

Le 13 juillet, après l’appel du soir – l’ensemble des “45000” ayant passé cinq jours à Birkenau -, une moitié des membres du convoi est ramenée au camp principal (Auschwitz-I). Aucun document ni témoignage ne permet actuellement de préciser dans lequel des deux sous-camps du complexe concentrationnaire a alors été affecté  François Dallet.

Il meurt à Auschwitz le 7 août 1942, selon le registre d’appel quotidien (Stärkebuch) et l’acte de décès établi par l’administration SS du camp (Sterbebücher).

Le couple gérant l’hôtel où il vivait effectue des démarches pour obtenir de ses nouvelles. Vers la fin 1943, un courrier rédigé en allemand leur apprend qu’il a été dirigé « sur l’Allemagne ».

Au printemps 1950, son père s’adresse au ministère des Anciens combattants et victimes de guerre pour solliciter une pension d’ascendant de victime civile.

Son nom est inscrit sur le monument en forme de tombe érigé dans le cimetière communal de Levallois-Perret par la CGT « en hommage à ses camarades chauffeurs de taxis parisiens tombés dans les luttes pour l’émancipation des travailleurs, pour la liberté, pour la démocratie, pour la France, pour la République » (situé en vis-à-vis de la tombe de la communarde Louise Michel).

Notes :

 [1] Levallois-Perret : jusqu’à la loi du 10 juillet 1964, cette commune fait partie du département de la Seine, qui inclut Paris et de nombreuses villes de la “petite couronne”, dont la “ceinture rouge” des municipalités dirigées par des maires communistes (transfert administratif effectif en janvier 1968).

Sources :

- Son nom et son matricule figurent sur la Liste officielle n°3 des décédés des camps de concentration d’après les archives de Pologne, éditée le 26 septembre 1946 par le ministère des anciens combattants et victimes de guerre, page 60.
- Claudine Cardon-Hamet, Triangles rouges à Auschwitz, Le convoi politique du 6 juillet 1942, éditions Autrement, collection mémoires, Paris 2005, pages 382 et 400.
- Cl. Cardon-Hamet, notice pour l’exposition de Mémoire Vive sur les “45000” et “31000” des Hauts-de-Seine nord (2002), citant : Bureau des archives des victimes des conflits contemporains (BAVCC), ministère de la Défense, Caen (fichier central).
- Archives départementales de la Creuse (AD 23), site internet du Conseil général : archives en ligne, registre des naissances de Saint-Martial-le-Vieux (cote 4E237/17), acte n° 1 (vue 27/44), ; registre matricule du recrutement militaire, bureau de Guéret, classe 1918, n° de 1005 à 1602 (1 R 612), matricule 1288 (vues 518-519/922).
- Archives de la préfecture de police (Seine / Paris), Service de la mémoire et des affaires culturelles, le Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis) : archives des Renseignements généraux de la préfecture de police (consultation sur écran), brigade spéciale anticommuniste, registre des affaires traitées 1940-1941 (G B 29) ; dossiers individuels au cabinet du préfet, dossier commun Dallet-Allaire (1 W 1098-55823).
- Archives nationales : correspondance de la Chancellerie sur des procès pour propagande et activité communistes (BB18 7043).
- Archives départementales des Yvelines et de l’ancien département de Seine-et-Oise (AD 78), Montigny-le-Bretonneux : centre de séjour surveillé d’Aincourt, dossier individuel d’Alfred Chapat (1W99).
- Archives du Centre de documentation juive contemporaine (CDJC), Paris ; liste XLI-42, n° 55.
- Archives départementales de la Vienne : camp de Rouillé (109W75).
- Death Books from Auschwitz, Remnants, Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, K.G.Saur, 1995 ; relevé des registres (incomplets) d’actes de décès du camp d’Auschwitz dans lesquels a été inscrite, du 27 juillet 1941 au 31 décembre 1943, la mort de 68 864 détenus pour la plupart immatriculés dans le camp (sans indication du numéro attribué), tome 2, page 204 (18654/1942).
- Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, Oświęcim, Pologne, Service d’information sur les anciens détenus (Biuro Informacji o Byłych Więźniach) ; copies du Starke Bucher du 7 au 8 août 1942.
- Site Mémorial GenWeb, 92-Levallois-Perret, relevé d’Émilie Pessy et de J.C., élèves de 3e5 (04-2003).
- Jean Maitron, Claude Pennetier, notice de Charles Auffray sur le site du Maitron en ligne.

MÉMOIRE VIVE

(dernière mise à jour, le 9-01-2024)

Cette notice biographique doit être considérée comme un document provisoire fondé sur les archives et témoignages connus à ce jour. Vous êtes invité à corriger les erreurs qui auraient pu s’y glisser et/ou à la compléter avec les informations dont vous disposez (en indiquant vos sources).

En hommage à Roger Arnould (1914-1994), Résistant, rescapé de Buchenwald, documentaliste de la FNDIRP qui a initié les recherches sur le convoi du 6 juillet 1942.